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Année 1999 Société Huazang Jingzong, Maître Shadu, Maître des Lumières, lettre personnelle

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Cette lettre de Maître Shadu m'a été écrite environ deux mois après le rasage à Huazang à Taipei le 1999 juin 6. Ce n'est qu'avant Shado que j'ai rencontré le Maître pour la première fois et la conversation a duré moins d'une demi-heure. J'ai décidé de me raser avec les deux autres frères trois jours plus tard. Environ six mois plus tard, j'ai décidé de revenir à la vulgarité pour le moment, mais c'était juste une sorte d'ingéniosité à l'époque. Je n'ai jamais eu l'idée de la vraie vulgarité dans mon cœur. Avant de demander le Maître, j'ai demandé au Maître s'il pouvait suivre la loi du Maître après être devenu moine. Le Maître a dit bien sûr que j'étais prêt à me raser après trois jours avec le Maître nouvellement familiarisé. À l'époque, je n'étais pas du tout familier avec les moines. Je voudrais suivre le vieux moine de la clairance pour penser qu'il s'agit d'une relation maître-élève. Ça devrait aller. Je ne m'attendais pas à ce qu'après le rasage, le Maître n'accepte pas de me laisser suivre le Maître. Par contre, les Frères ne pouvaient pas me tolérer. J'essaie toujours de forcer le Maître à me chasser. Je ne veux plus déranger le Maître. J'ai observé chaque jour que le Maître se disputait durement avec un autre Maître à cause de mon existence, et j'étais anxieux dans mon cœur. Après avoir voulu suivre les enseignements de l'école Shigong, j'ai demandé plus tard au Maître que je devrais être ordonné pour garder le cœur Tao avec le corps de l'anneau. Lorsque le Maître m'a écrit cette lettre, à ce moment-là, le Maître emmenait nos trois frères pour payer une commande étroite avec le Maître à Kuslin, Singapour. Pendant cette période, un Bhikkhuni m'a conseillé de suivre un cours de formation pour suivre la loi du Maître, et j'avais J'ai d'abord demandé la permission au Maître, et le Maître n'était pas d'accord. Finalement, je n'ai pas eu d'autre choix que de quitter Changdu pour vivre seul après avoir décidé de retourner à Taiwan.

Récemment, j'ai trié ma correspondance précédente, puis je l'ai gardée sur mon site Web. Maintenant, regardez le contenu de cette lettre près de vingt ans après être devenu moine. Pour moi, Maître, pour moi, est le premier bienfaiteur qui a fait de moi un moine. C'est aussi le début de cultiver des souffrances pour moi depuis vingt ans. Quel que soit le type de relation entre maître et apprenti, c'est toujours un rêve, et c'est aussi la cause majeure de cette vie. Du point de vue de la pratique, tout doit être reconnaissant!

Zhuang Jing (écrit en octobre 2019 par Shi Airen, Jingun)